Brancalonia offre bien des outils pour rendre l'ambiance des récits picaresques sur nos tables de D&D5 : équipement de mauvaise qualité, objet magiques foireux, magie limitée, gestion des primes sur les têtes des personnages, bringues aux conséquences inattendues, rixes conviviales, gestion de bande et de son repaire. Il fait gagner en richesse les niveaux les plus intéressants de D&D5, les 6 premiers, ceux où l'on se construit, ceux ou l'on en bave tout en restant dans une certaine légèreté !
mercredi 14 décembre 2022
🍕🗡 Brancalonia : on en parle près de chez vous !
Brancalonia offre bien des outils pour rendre l'ambiance des récits picaresques sur nos tables de D&D5 : équipement de mauvaise qualité, objet magiques foireux, magie limitée, gestion des primes sur les têtes des personnages, bringues aux conséquences inattendues, rixes conviviales, gestion de bande et de son repaire. Il fait gagner en richesse les niveaux les plus intéressants de D&D5, les 6 premiers, ceux où l'on se construit, ceux ou l'on en bave tout en restant dans une certaine légèreté !
mercredi 7 décembre 2022
La tétralogie Dragons est disponible en boutique !
DRAGONS : Le jeu de rôle du Studio Agate sur Vimeo.
-Fort Ardraco (Aventure pour des personnages de Niveau 1 à 5) ;
-Le Chronolithe (Aventure pour des personnages de Niveau 1 à 5) ;
-La Complainte du Papillon (Aventure pour des personnages de Niveau 3 à 5) ;
-Une Invitation à Griseflore (Aventure pour des personnages de Niveau 4 à 6).
-L'univers d'Eana ;
-La Cité Franche, où commence nombre d'aventures.
mardi 25 octobre 2022
Le Dragon d'Agate était au Essen SPIEL !
Début octobre, nous avons fait le déplacement au Spiel pour présenter Fateforge, notre version anglaise de Dragons. Quel accueil ! Un immense merci à vous :)
À cette occasion, nous avons présenté le premier tirage de la figurine du Dragon d'Agate tiré du premier volume de Créatures... nous n'en dirons pas plus sur ce dragon bien particulier pour éviter les spoilers ^^
Regardez ça : le tirage a été fait à échelle 28 mm. La figurine que vous apercevez fait 28 mm, le dragon lui-même est vraiment massif !
Nous avons passé de superbes moments sur place, merci à toutes les personnes qui sont passées nous voir et rendez-vous sur un prochain salon !
Pour finir, voici une petite photo de l'équipe sur place :
jeudi 8 septembre 2022
Iron Kingdoms : le jeu est financé et la gamme se lance !
Le Monstronomicon
Borderlands and Beyond
Borderlands Survival Guide
Shadow of the Seeker
Nightmare Empire
Scoundrel's Guide
Tales from the Blackwater Cantina
vendredi 26 août 2022
Iron Kingdoms : Requiem - Connaissez-vous la Légende de la Sorceflamme ?
La Sorceflamme est décrite ainsi dans le livre de base : « la Sorceflamme, une arme redoutable [utilisée] pour invoquer les morts exaltés de la Légion des Âmes perdues. C’est ainsi que Vinter IV et ses troupes furent repoussés lors de la Nuit la plus longue. Par la suite, [la gardienne de l'épée] et la Légion jouèrent un rôle décisif dans la bataille de Fort Henge, lors de la Collecte. »
Une arme anodine, donc, qui n'a pas du tout participé à la construction des Royaumes d'Acier actuels et du Cygnar en particulier.
Mais attendez voir. Il n'était pas question d'une campagne de 88 pages pour aventuriers du niveaux 1 à 4 ? Des petits nouveaux pourraient se retrouver avec l'un des artefacts les plus puissants d'Immoren occidentale entre les mains. Voyons, ce serait aller un peu vite en besogne. Ici les personnages – comme les joueurs – vont d'abord découvrir le monde dans lequel ils évoluent. Et quoi de mieux pour ce faire que d'assurer le service d'ordre lors des festivités précédant La Nuit la plus longue, ce moment de l'année où les jours sont bien plus courts que les nuits.
Et franchement, qu'est-ce qui pourrait mal se passer ? Après tout, cette campagne se déroule à Corvis, aussi connue sous le nom de Cité des Fantômes. Qu'elle soit bâtie à la jonction marécageuse de deux fleuves, avec des constructions s'enfonçant (littéralement, puisque bâties sur un marais) profondément sous terre, qu'elle ait été le théâtre de nombreuses batailles par son emplacement stratégique, tout ça ne devrait pas vous inquiéter. Un boulot facile de maintien de l'ordre, on vous dit...
mardi 16 août 2022
Iron Kingdoms : Requiem - Magie et mékamagie des Royaumes d'Acier
Malgré sa rareté, la magie joue un rôle prépondérant dans les Royaumes d’Acier. D’abord source de libération quand elle a permis la libération de l’oppresseur orgoth, elle est devenue un fardeau au prix incroyablement lourd à porter depuis la Collecte et la quasi-apocalypse qui l’a accompagnée.
Au-delà de ces deux moments charnières de l’histoire d’Immoren occidentale, la magie s’est malgré tout intégrée au quotidien de tout un chacun, pour le meilleur et pour le pire.
Pour un voyageur venu d’un autre monde où elle se pratique de diverses manières, la particularité la plus notable de la magie profane en Immoren est qu’elle est innée. Bien sûr, les religieux accèdent à des pouvoirs magiques octroyés par la bénédiction de leurs dieux, mais tous les lanceurs de sort qui ne dépendent pas d’un clergé ne reposent que sur leur propre talent. Dit autrement, les sorciers et leurs suzerains n’existent pour ainsi dire pas dans les Royaumes d’Acier. Cependant, certains mages parviennent à tisser des liens avec de féroces bêtes de guerre qui leur octroient une forme particulière de magie… mais ils seront abordés ultérieurement.
Une magie aux manifestations différentes
Il reste quoi, alors ?
Poudre, vapeur et magie
lundi 8 août 2022
Espèces, classes et nouveaux archétypes d'Iron Kingdoms : Requiem
De nouvelles espèces
Et vous faites quoi dans la vie ?
Je ne suis pas venu seul
samedi 30 juillet 2022
Plongée dans l'univers d'Iron Kingdoms : Requiem
Le Studio Agate lance un financement participatif sur Ulule du 1er au 15 septembre pour la version française de Iron Kingdoms : Requiem. Envie de découvrir ce nouvel univers compatible avec la 5e ? Vous êtes au bon endroit !
Découvrez l’Immoren occidentale, où la puissance de la vapeur et la poudre à canon côtoient l'épée et la sorcellerie. Armés d’appareils mékamagiques et accompagnés de puissants scaraciers, explorez les villes couvertes de suie des Royaumes d’Acier. Et si vous êtes déjà venu par le passé - avec la troisième édition, par exemple - vous trouverez l’endroit changé. Les Royaumes d’Acier ont vu s’écouler une vingtaine d’années durant laquelle ils ont dû affronter le plus grand des périls : la Collecte. L’Immoren occidentale se relève péniblement de cette attaque sans précédent, exécutée par les ordres infernaux grâce à la traîtrise d'humains à leur service. Figurerez-vous parmi les Héros qui soutiendront les peuples libres dans la reconstruction de leur foyer et les défendront des menaces qui rôdent encore ?
Iron Kingdoms : Requiem s’inscrit dans une histoire éditoriale de bientôt vingt ans. En 2003 sort le jeu de figurines Warmachine, qui permet de mettre en scène des escarmouches entre combattants dans un monde de fantasy. Classique direz-vous ? Pourtant le jeu reçoit la même année deux Origin Awards, véritables Oscars du monde du jeu : Best Fantasy Miniatures Rules (meilleures règles pour jeu de figurines fantasy) et Best Fantasy Miniatures Series (meilleure série de figurines fantasy).
Comment ce nouveau venu parvient-il à se démarquer si vite du lot ? Grâce à son univers, qui mélange les grands classiques de la fantasy (empires humains, ingénieurs nains, elfes reclus), en les réinventant sous l’influence d’une technomagie qui va mâtiner l’ensemble d’une ambiance steampunk unique.
Warmachine et les Royaumes d’Acier où se déroulent ses batailles sont ainsi dominés par les emblématiques scaraciers, ces automates faisant jusqu’à 5 m de haut, alimentés par la puissance de la vapeur ou de la foudre, et contrôlés par la magie unique des mékastratèges, capables aussi bien de leur donner des ordres que de prendre possession de leurs corps mécaniques.
De la magie, les peuples classiques de la fantasy et des gros robots ? Mais comment tout cela se marie-t-il ? Comme dans une forge : avec du sang et de la sueur. Car l’Immoren occidentale où sont situés les Royaumes d’Acier est loin d’être une contrée paisible.
Un peu d’histoire…
Bien sûr, les nains rhufolk vivent ici en paix, voire cohabitent activement avec les immenses ogruns. Ces humanoïdes de près de trois mètres ont intégré leur tradition tribale dans la vie urbaine et souterraine des nains, croisant leurs cultures pour une cohabitation bénéfique aux deux partis. Cependant, les peuples humains, eux, s’entredéchirent. Les guerres de religion n’interviennent pas parce que des philosophes divergent de point de vue, mais parce que des humains accèdent à la divinité, remettant en cause les préceptes auparavant établis. Ils deviennent ainsi des modèles pour des millions de fidèles, qui se détournent de leur ancienne foi. De son côté le royaume elfe de Ios ignore ces querelles… Au milieu de tout cela, les gobbers se livrent à leurs trafics tandis que les trollkins tentent tant bien que mal de faire perdurer leur mode de vie traditionnel malgré l’expansion incessante des humains sur leurs territoires. Dans les cieux apparaissent des Dragons, nés, dit-on, du premier d’entre eux : Toruk. Loin de former une famille unie, les membres de cette espèce s’entredévorent. Une raison supplémentaire de les éviter, si la corruption que leur simple présence diffuse ne suffisait pas...
Bientôt un ennemi va faire l’unanimité contre lui : les Orgoths, venus par-delà les mers, asservissent tous les Royaumes d’Acier un à un. Seules les forteresses naines sous les montagnes, les impénétrables forêts de Ios et les îles tenues par le dragon Toruk leur résistent. Le Père de Tous les Dragons ne s’encombre même pas d’envoyer les flottes qu’il a asservies dans la non-mort lors de son installation sur les îles autrefois tenues par des capitaines pirates. Plutôt que de sacrifier ses troupes, il affronte lui-même la flotte orgoth qui se dirige sur son territoire, la coule et rentre chez lui. Les Orgoths se disent qu’il vaut mieux regarder ailleurs.
Et effectivement, toutes les autres nations humaines vont ployer - à l’exception notable de la ville humaine de Caspia, qui restera une cité certes libre, mais assiégée pendant plus de huit siècles. Car pendant six siècles, l’occupation orgoth restera incontestée.
Et la rébellion mettra deux siècles supplémentaires pour renvoyer l’envahisseur à la mer. Deux siècles de lutte âpre et obstinée, où seront mises à profit les dernières découvertes technologiques, parmi lesquelles la poudre et le moteur à vapeur, mais aussi et surtout un atout précieux : la magie. Car auparavant, l’humanité était dépourvue de tout talent arcanique. Il faudra donc qu’une déesse obtienne le don de magie pour ses fidèles, puis pour toute l’humanité d’Immoren occidentale, pour que les rebelles se dotent d’une nouvelle arme. Bientôt combinée avec la poudre et la puissance de la vapeur, la science arcanique donne naissance à une branche inédite de la magie : la mékamagie.
Les rebelles voient apparaître dans leurs rangs des mages, des pistoliers, et toutes les combinaisons possibles de ces nouveaux combattants : les redoutables mages-ballisticiens, qui canalisent leur puissance arcanique le long du canon de leur arme, et surtout, les mékastratèges, capables de concevoir des armes mékamagiques et plus encore de contrôler les terribles scaraciers. Les premiers de ces automates contrôlés par la magie offriront leurs premières victoires à l’humanité, jusqu’à ce que les ateliers clandestins produisent de véritables titans qui resteront inégalés jusqu’à ce jour. Leurs carcasses trônent depuis leur victoire contre l’envahisseur sur d’anciens champs de batailles ou dans les baies où ils poursuivirent les vaisseaux fuyards.
Et maintenant…
Aujourd’hui, de taille plus modeste (si on peut considérer un automate de cinq mètres comme « modeste »), les scaraciers ont intégré tous les aspects de la vie quotidienne des Royaumes d’Acier : ils aident aux labours, à décharger les navires, à charrier des charges impossibles, bref, ils remplissent tous les travaux de force inaccessibles aux êtres vivants.
Et bien sûr, ils constituent la plus efficace des forces de frappe de tous les empires.
Car l’union qui a permis la victoire contre l’envahisseur orgoth a été de courte durée. Bien vite les empires se disputent territoires et ressources à nouveau. Quand les empires humains du Khador et du Cygnar ne s’affrontent pas directement, le jeu des alliances les pousse à se retrouver sur les terres de royaumes envahis par l’un et soutenus par l’autre. Les schismes religieux divisent également les nations et partout les combats sont alimentés par la course technologique. En de rares occasions pourtant, le continent s’unit de nouveau contre un ennemi commun, venu des îles Schardes où règne toujours Toruk, le Père de Tous les Dragons, à la tête de ses armées morts-vivantes.
Un événement pourtant vient ramener tout le monde à la raison. Quand huit cents ans auparavant, l’humanité se vit octroyer le Don de magie, elle ignorait que ce cadeau divin avait un prix : en réalité, la déesse qui l’avait octroyé l’avait négocié auprès des infernaux de l’ordre Nonokrion. Et les infernaux ne donnent jamais rien gratuitement. Les Royaumes d’Acier découvrent avec effroi ce qu’ils réclament : les deux tiers des âmes vivant en Immoren occidentale. L’attaque des hordes infernales est dès lors connue sous le nom de Collecte, et l’affrontement s’étale sur toute une année. Si les infernaux sont vaincus, les Royaumes d’Acier sont littéralement exsangues, entre les victimes tombées au combat, les traîtres à la solde des infernaux, les exilés, des villes entières sont aujourd’hui désertes.
C’est dans ce monde qui peine à se reconstruire que cette nouvelle édition de Iron Kingdoms prend place, donnant à son sous-titre, Requiem, tout son sens.
Entre intrigues politiques, tensions militaires qui subsistent entre les alliés d’hier, suspicions de réminiscences infernales et enquêtes dans un monde où les trafics font partie du quotidien, les personnages auront fort à faire…
D’ailleurs, en parlant des personnages, rendez-vous la semaine prochaine pour aborder toutes les possibilités de customisation de votre personnage. Vous découvrirez, si vous en doutiez encore, qu’Iron Kingdoms : Requiem va vous permettre de sortir des sentiers battus grâce à ses propositions full metal fantasy !
D'ici là, n'hésitez pas à vous abonner à la page Ulule de Iron Kingdoms : Requiem pour ne pas manquer son lancement le 1er septembre 2022 !